Titre : Le cadavre rieur.
Auteur : Laurell K. Hamilton.
Editeur : Milady.
Nombre de pages : 374.
Quatrième de couverture :
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain; Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire ce boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires….
Mon avis :
Il m’a été difficile de trouver ce tome 2 : mes librairies préférées passaient allègrement du tome 1 au tome 11. Quand enfin j’ai mis la main sur ce livre, dans une librairie parisienne, j’ai littéralement sauté dessus.
Premier constat : la couverture. Je suis désolée, je ne peux pas. Quand mes proches ont vu ce livre, il a fallu que je leur explique que c’était une histoire de vampires, pas une histoire scabreuse. Enfin, pas encore.
Deuxième constat : ce roman sera le dernier que je lirai de cette série. Trop de sang, trop de monstres, trop de tortures, et même pas distrayant. J’ai rapidement retrouvé la structure du premier tome, avec quelques passages obligées. A vrai dire, je suis persuadée qu’il est possible de lire ce second tome sans avoir lu le premier : les liens entre les personnages sont réexpliqués, Jean-Claude ne fait que de brèves apparitions, vers la fin du récit.
Je vais donc retourner vers des récits moins sanglants. Je vous laisse, je vais regarder la saison 2 de True Blood.