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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 09:27

Karen-et-moi.jpg

Edition Arléa - 146 pages.

Mon résumé :

 

Découvrir une oeuvre peut-elle changer la vie ? La narratrice, que sa lecture de La ferme africaine à onze ans a transformé, pense que oui. Elle rend aujourd'hui à Karen Blixen ce qu'elle lui doit.

 

Mon avis :

 

Je l'ouvre par un premir constat : bien que cette lecture ait été très agréable, je ne trouve rien à dire, rien à écrire sur ce livre. Pourquoi rédiger ce billet ? Pour analyser pour quelle raison je ne trouve strictement rien à dire sur Karen et moi.

 

Quand j'ai lu ce livre, j'ai eu immédiatement envie de me replonger dans l'oeuvre de Karen Blixen, de relire La ferme africaine. Vous me direz qu'un livre qui donne envie d'en lire d'autres est une chose positive. Oui, si ce n'est justement que ce livre m'a laissé sur ma faim.

 

Biographie de Karen Blixen ? Pas entièrement. L'auteur montre comment sa rencontre avec l'écrivain l'a sauvé en quelque sorte, bien qu'il lui ait fallu des années pour oser être celle qu'elle est vraiment. L'ose-t-elle encore, véritablement ? Elle a conscience aussi qu'il faut qu'elle se détache de cette figure tutélaire. Elle n'est pas Karen, tout comme son amant n'est pas Denys. Avec le recul, je trouve les parallélismes entre sa vie et celle de Karen un peu aseptisé, comme si écrire le destin de Karen Blixen lui permettait de vivre une vie de passion et d'écriture par procuration.

 

Tout comme j'analyse pourquoi ce roman me paraît fade et gris avec le recul, la narratrice analyse ce qui l'a amené à se construire ainsi. Elle fait presque de la psychogénéalogie en allant chercher du côté de ses parents puis de ses grands-parents l'origine du mal-être qui règne dans sa famille. En prendre conscience l'aide à casser cette chaîne de transmission et à enseigner à ses propres filles à être elles-mêmes - pas si facile. 

 

Quand je lis un premier roman, je devrais avoir logiquement envie de découvrir le second. Après avoir lu ce premier roman, je me demande s'il y en aura un second. Nathalie Skowronek franchira-t-elle le pas et construira-t-elle une oeuvre littéraire autonome ? Je l'espère.

 

 

Defi-PR-4Défi premier roman chez Anne

 

Rentree-litteraire.jpg

Challenge rentrée littéraire chez Hérisson

 

Le challenge Voisins voisins organisé par Anne.Logo-Voisins-Voisines-Calibri-noir-cadre-blanc

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 11:33

Couverture_de_Un_ecr-0d-0a-ivainS_de_Augustin_Fe-0d-0a-ye.jpgMerci à Thomas, de la maison d'édition EP-LA Arès (www.ep-la.fr), pour ce partenariat.

 

Mon avis :

 

En lisant les premières pages ce livre, j'ai immédiatement pensé à un film : plus que des mots, ce texte fait naître des images. Sans longue description, je vois les personnages, en marge de tout et de tous. Ils ne sont pas sympathiques, ils ne cherchent absolument pas à l'être, ils sont trop occupés à poursuivre leurs vies en marge et en miettes.

 

Que dire sans dévoiler l'intrigue ? Deux réalités s'enchevêtrent. Louise, dite Lou, est-elle cette adolescente paumée, droguée, prostituée, maltraitée ou cette femme qui joue à la bourgeoise et rend régulièrement visite à Nicolas, en prison ? Où est la réalité ? Je n'ai pris que ce personnage en exemple mais chacun d'entre eux semble posséder une double existence, dans le récit de l'écrivain ou dans le récit de Nicolas.


Le style est sujet à des variations. Il peut être simplifié à l'extrême, direct. il peut être plus littéraire, plus normés, dirai-je, surtout dans la dernière partie du roman. Les phrases sont courtes. Souvent, les termes sont familiers, parce que les personnages ne savent pas parler autrement. Je ne vous parle même pas de la syntaxe. Je me suis sentie souvent très décalée en lisant ce livre, qui utilise un vocabulaire qui m'est étranger et qui décrit un univers qui existe, sans doute, mais que je n'ai jamais cotôyé, pas même de manière livresque. Comme si, dans ce partenariat, il y avait erreur sur la personne. 

 

Plus j'avançais dans le récit, plus il m'était difficile de distiguer le fantasme de la réalité. Si je choisissais la facilité, je dirai que l'écrivain remplace Dieu dans ce récit, et que nous sommes tous des personnages d'un livre dont nous ignorons l'auteur. Seuls quelques-uns des personnages parviennent à s'adresser à lui. Je choisirai donc de croire plutôt que nous avons là un livre construit de plusieurs strates, dans lequel l'écrivain-personnage explore les variantes possibles de son histoire, réincarnant tour à tour certains personnnages-fanstasmes, réécrivant des situations avec comme dénominateur commun la violence.

 

Le terme même me paraît faible car j'ai été véritablement choquée par ce récit. Je ne vous parle pas du point de vue développé sur les psys, leurs thérapies discutables, leurs échecs avec leurs propres enfants ou leurs névroses. Ce sont des clichés bien connus, pour rester dans le domaine littéraire. Je ne vous parlerai pas non plus de l'homosexualité perçue comme une maladie à soigner. J'ai été choquée par la banalisation du viol, par la prostitution, par l'énumération des déviances sexuelles, auxquelles pourtant les prostituées, toutes génération confondue, acceptent de se livrer. Je n'ai même pas envie, concernant cette partie du récit, de sortir à mon tour des clichés tels que "témoignage sur une réalité" ou "vide de notre société actuelle", "argent facile", "mal-être" parce qu'il n'est que deux échappatoires, en dehors de l'innocence d'une enfance condamnée à prendre fin : la mort et la folie.

 

Pour être au plus prêt du récit, je termine cet article par Nantes, de Barbara, souvent écouté par Louise et sa mère.

 

A la demande de certains blogo-lecteurs, voici un extrait du roman, portraot de Nicolas, p.  25:

 

"C’est à cette époque que Nicolas s’est mis à écrire des poèmes et son
premier roman. Parce que schizophrène et artiste, les filles, elles craquent.
« Nico est trop mimi » qui plus est. Un grand blond taillé dans du roc, la
posture de Jim, des cheveux longs et un regard bleu, caressant, toujours
dans le vague. Pour l’heure, il n’écrit plus pour la pose et tremble comme
une feuille en public. Craint les autres. Pas par manque de confiance, non.
Simplement la peur de révéler quelque chose en lui. Quoi ? Il l’ignore, mais
ce n’est pas forcément une faiblesse."

 

Defi-PR-4Défi premier roman chez Anne

 

Rentree-litteraire.jpg

Challenge rentrée littéraire chez Hérisson

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 18:15

NOthomb.jpgEdition Albin Michel - 150 pages.

 

Quatrième de couverture :

 

Allez savoir ce qui se passe dans la tête d'un joueur.

 

Mon avis :

 

Ce livre est un livre utilitaire c'est à dire qu'il me permet de valider quatre challenges. Cette validation est son seul intérêt. Techniquement, il est un vaste récit encadré à l'intérieur d'un récit cadre (technique employée avec virtuosité par Guy de Maupassant dans ses nouvelles). La narrratrice principale, qui s'appelle Amélie Nothomb et porte des chapeaux, comme elle (mais peut-être est-ce elle !) se fait raconter l'histoire de deux hommes mystérieux qui ont attiré son regard.

Nous retournons dans le passé. Acte fondateur : Cassandra flanque son fils de quinze ans à la porte parce qu'il la dérange. Apprenti magicien, il rencontre un père spirituel qu'il n'aura de cesse de "tuer" ainsi que nous le dit le titre. Voici les ingrédients de ce roman :

- des personnages peu nombreux et stéréotypés.

- un trio amoureux.

- des dialogues plats remplis de clichés sentencieux.

- des considérations psychologiques, toutes aussi remplies de clichées.

- de très longs développements sur la drogue. J'ai pensé au Voyage d'hiver, autre livre d'Amélie Nothomb que je n'ai pas aimé.

- un retournement final ennuyeux.

Vous mélangez le tout, vous plantez l'action dans le Névada et vous obtenez un court roman pour vous occuper dans les transports en commun. Je n'ai garde d'oublier mon jeu de mot final foireux : comment un livre qui parle de magie peut-il en manquer autant ?

 

 

Rentree-litteraire.jpg

Challenge 50 états, 50 billets (Névada) organisé par Sofynet.

50

Le challenge Voisins voisins organisé par Anne.

Challenge ABC de Babélio

Challenge rentrée littéraire chez le blog de Herrisson : délivrer des livres

challenge-abc2012

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 20:48

maigret.jpgMaigret chez les flamands de Simenon.

Edition France Loisirs - p. 341 à 443

 

Je participe grâce à ce billet à L'automne fritissime organisé par Schlabaya

 

Mon avis  :

 

Par un concours de circonstances, Maigret est amené à Givet, non pour réellement enquêter, mais pour prouver l'innocence de la famille Peeters, ou plus précisément, de Joseph Peeters. Première difficulté : Maigret n'est pas officiellement chargé de l'enquête, il n'est qu'un "consultant", comme on dirait de nos jours. Il le fait par amitié pour le cousin de sa femme, l'inspecteur Machère reste seul en charge du dossier. Deuxième difficulté : il n'y a pas d'affaire, à proprement parler. Germaine Piedboeuf a disparu. Il serait pratique de croire que cette jeune ouvrière, tuberculeuse de surcroit, ait suivi un galant et ait choisi de ne plus donner signe de vie. Ce serait déjà à peine crédible si elle n'avait un petit garçon de trois ans, fils de Joseph Peeters. Il ne reste que deux hypothèses : soit elle est séquestrée (dans quel but ?) soit elle a été tuée.

 

Lire une enquête du commissaire Maigret revient à prendre le temps de découvrir le milieu dans lequel le crime a eu lieu. Givet est une petite ville à la frontière belge, qui vit essentiellement grâce aux mariniers qui s'y arrêtent, passage obligé avant la frontère, et les Peeters, les "flamands" sont unanimement détestés. Parce qu'ils sont riches. Parce que leur clientèle est presque exclusivement composée de mariniers flamands, qui préfèrent s'approvisionner chez eux, dans un bistrot qui leur rappelle la Flandre, plutôt que d'aller dans un estaminet français. Parce que Maria, la fille aînée, est régente chez les Ursulines de Namur, l'aristocratie enseignante. Parce qu'ils veulent faire de leur fils Joseph un avocat, il poursuit scurpuleusement ses études à Nancy. Parce qu'il circule des rumeurs sur la cause de leur richesse, contrebande et marché noir pendant la seconde guerre mondiale. Parce que Joseph devait épouser la fille unique d'un médecin et qu'il était hors de question pour sa famille de le voir épouser une petite ouvrière poitrinaire, qu'ils ont tout fait pour discréditer à ses yeux. Ce n'était pas très difficile, puisque Joseph n'a jamais eu l'intention d'épouser Germaine. Il se contente de laisser sa famille payer pension pour le petit Jojo.  

 

Le corps de Germaine est finalement retrouvé. Le rapport d'autopsie n'est pas beau à lire. Maigret ne l'épargne pas au Peeters. Il attend. Une réaction. Il sait qu'il ne peut rien prouver - il sait aussi que l'inspecteur Machère accrédite le suspect qu'on lui a livré en patûre (suspect qui prendra opinément la fuite et qui ne sera jamais retrouvé). Il attend. Que le coupable craque. Pour se faire, il faudrait que le monde idéal dans lequel il vit se fissure. Dans le monde idéal de la famille Peeters, j'appelle Joseph, le fils. Ni très beau, ni très intelligent, il suscite pourtant l'amour passionné de sa vaporeuse cousine Marguerite, créature à la naïveté presque trop grande pour être honnête, trop amoureuse pour ne pas teinter de romantisme le moindre geste de son Joseph. Dans sa famille, il a pris la place du père, ancien vannier. L'octogénaire n'est guère qu'un meuble qu'on déplace de temps à autre. Il suscite la dévotion de sa mère, de sa soeur Maria et surtout, celle d'Anna - l'attachement envers son frère est à la limite de l'inceste. Ces cinq femmes sont-elles capables de tuer pour lui ? Je ne vous donnerai pas la réponse. Sachez seulement que la sauvagerie du crime (Germaine a été tuée à coup de marteau) n'a rien à envier à nos romans policiers modernes et que si la coupable ne sera jamais jugée (à ce stade de mon billet, je peux désormais employer le féminin), ce à quoi elle assistera, une année seulement après la clôture de l'affaire sera sans doute le pire des châitments. 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 11:22

chaossurbruges.gifédition le livre de poche - 341 pages.

 

Quatrième de couverture :

 

Le commissaire Van In, grande gueule au coeur tendre et buveur de bière impénitent, son adjoint, le perspicace Versavel, et la belle Hannelore Martens, substitut du procureur : un trio de choc pour déjouer une série d'affaires qui sème la panique dans la bourgeoise ville de Bruges.

Une fois encore, le pas très politiquement correct Van In s'apprête à jeter le trouble en haut lieu, où l'on semble peu pressé de le voir résoudre son enquête.

 

Mon avis :

 

Ce livre est à la fois ma première participation au challenge Fritissime et ma rencontre avec le commissaire Van In. Je dois dire que je ne suis pas tombée sous le charme de ce commissaire, aussi les cent premières pages, qui sont essentiellement consacrées à sa vie privée et à ses problèmes (avec l'argent, avec l'alcool), m'ont semblé languissantes, tout en restant agréables à lire. Puis, l'enquête se complexifie, dénonçant à la fois la difficulté à gérer une ville telle que Bruges, surtout avec des échevins médiocres, plus occupés à se mettre des bâtons dans les roues qu'à tenter de régler les problèmes et la corruption qui règne jusque dans la police et les tribunaux. Elle plonge ses racines dans un passé pas très glorieux, un passé dont certains tirent encore des bénéfices substantiels.

 

Le commissaire Van In a de la chance, il mène son enquête avec un aplomb déconcertant, ne craignant de poser des questions gênantes ou de déranger des personnalités jugées intouchables. Les conséquentes seront certes funestes mais le commissaire s'en tire sans dommage, malgré des addictions de toute sorte. Le dévouement de son adjoint et l'amour de la belle substitut du procureur sont une bénédiction pour lui et, heureusement, il mesure ce qu'il leur doit.

 

Chaos sur Bruges est une enquête pas déplaisante à lire, presque divertissante, mais elle ne m'a ni surprise, ni émue. Je crains même de l'oublier très rapidement.

 

Le mois Fritissime est organisé par Schlabaya.

nestor-frites

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 21:02

guiguette.jpg

 

Titre : La guinguette à deux sous.

Auteur : Georges Simenon.

Editeur : Le livre de poche.

 

 

Circonstances de lecture :

  

J’ai lu, entre vingt et vingt-deux ans, toutes les enquêtes du commissaire Maigret. Comme j'ai du mal à me concentrer sur mes lectures en ce moment,  j’ai relu une de ses enquêtes, une de celles dont je ne me souvenais pas trop. 

 

 Mon avis :    

 

Si vous ne connaissez pas l’univers de Simenon, je ne vous conseillerai pas de débuter par cette enquête car elle apparaît comme une parenthèse dans la carrière de Maigret. Pourtant, le roman avait débuté de manière dramatique. Nous suivons Maigret rendant visite à un condamné à mort dont le pourvois a été rejeté. Celui-ci, qui n’a jamais voulu charger ses complices, fait une confidence à Maigret : il connaît un homme honorable qui mériterait la guillotine autant que lui. Il ne lui donne pas son nom (ce chef de bande respecte jusqu’au bout son code de l’honneur) mais lui décrit ce que lui et son ami Victor ont vu six ans plus tôt et lui donne un nom : la guinguette à deux sous.  

 

La seconde enquête ne démarre pourtant pas. Le temps passe, et Maigret a d’autres préoccupations : ce sont les vacances, il doit rejoindre sa femme en Alsace, les policiers sont surchargés de besogne. Le hasard va véritablement le remettre sur la trace de cette guinguette, et, le temps d’un week-end, il s’y laisse entraîner, rencontrant les habitués. La faune est étrange, hors du temps. Ce sont tous ou presque des notables venus se distraire, un médecin, un entrepreneur, un chemisier, un employé de banque, qui s‘amusent à reconstituer l’ambiance désuète du début du siècle. Maigret semble presque en vacances au milieu d’eux. Rien ne lui échappe pourtant : la mélancolie des uns, la trop grande joie de vivre des autres. Il découvre même la liaison extraconjugale qui unit Basso l’entrepreneur à la très sensuelle Mado Feinstein.

 

Survient la tragédie : Feinstein est retrouvé mort, une balle dans le cœur, Basso, l’arme à la main, proteste de son innocence. Ceux qui fuyaient le monde contemporain, et avec lui, leur passé, se trouvent rattrapés par les conséquences de ce meurtre. Fuite, cavale, déploiement de gendarmerie digne des plus grands gangsters paraissent incongrues, et Maigret lui-même prend ses distances vis-à-vis d’une enquête qui se déroule presque malgré lui. Il la suit pourtant, tout en retrouvant la trace du meurtre qui a eu lieu six ans plus tôt, et qui le ramène vers les habitués de la guinguette.

 

Le dénouement ne fut pas pour moi un voile qui se déchire, il me parait tristement banal, tragiquement réaliste et m'a laissé un goût amer . Durant tout le roman, Maigret a plus agi en homme qu'en policier et c'est sans doute pour cette raison qu'il a été berné - et, lui semble-t-il, avec son propre consentement.

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