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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 09:16

J'aurai pu vous parler de la saint Patrick, j'ai choisi de ne pas le faire. J'aurai alors rédiger un billet propre à déprimer tous mes lecteurs (puis, en ce qui concerne l'Irlande, les huit romans de Ken Bruen chroniqué montre assez mon attachement à la littérature irlandaise).

 

Je choisis de vous parler d'un coup de coeur musical. Je me promenais sur Deezer (youtube ne fonctionnait plus pour d'étranges raisons) et je suis tombée sur cette musique.

en écoutant l'unique play list se réferrant à Jean-Baptiste Lully.

 

Bref, choc auditif. Quel était cet artiste ? Ni Gérard Lesne, ni Andreas Scholl ni Philippe Jarrousky (pour citer trois fameux contre-ténor dont je suis certaine de reconnaître les voix à coup sûr). Je redécouvre alors le nom d'Henri Ledroit, né en 1946, mort en 1988, soit deux ans avant que je commence à m'intéresser à la musique baroque. Il se fit connaître en 1976, dans David & Jonathas de Marc-Antoine Charpentier, en remplaçant Paul Eswood, souffrant. Il enchaîna ensuite les concerts, en France et en Europe. Il en chantait pas uniquement de la musique baroque, il participa aussi à des créations contemporaines, comme En un Tour de Main (pour alto solo) en 1986 de George Asperghis.


Plutôt que de paroles, je laisse la place à la musique, avec Luigi Rossi :


 

 

ou avec le Stabat Mater de Vivaldi :

 

 

 

 

 


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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 19:18

Samedi 21 juillet, je suis allée à Paris. Je passe rapidement mes "excursions" dans trois librairies différentes, d'où je suis ressortie avec un nombre assez impressionnant de livres. Non, je préfère arriver tout de suite au point d'orgue de la journée : la représentation de l'Alvin Ailey compagnie au théâtre du Châtelet, à laquelle j'ai assisté en matinée.

 

C'est la troisième fois que j'ai la chance d'applaudir cette troupe, et je dois dire qu'à chaque fois, je suis conquise.

 

La première oeuvre présentée était Arden Court, de Paul Taylor, sur une musique de William Boyce. Le titre est une référence au nom de la forêt dans Comme il vous plaira de Shakespeare. J'ai adoré ce ballet dans lequel les danseurs ont montré la joie de danser et une très grande complicité.

 

Alvin_Ailey_American_Dance_Theater_in_Paul_Taylor_s_Arden_C.jpgToutes les photos proviennent du site Les étés de la danse.

Arden Court (Paul Taylor) (c) Paul Kolnik

 

The évolution of a secured feminine est un solo pour danseuse seule de Camille A. Brown. Il a été créé en 2007. Changement de musique avec du jazz, et les voix d'Ella Fitzgérald, Betty Carter et Nancy Wilson. Pour danser ce ballet de neuf minutes, il faut vraiment une personnalité charismatique qui emporte la salle. C'était vraiment le cas avec Ghrai DeVore.

 

ete-de-la-danse-1.jpgBriana Reed - The Evolution of A Secured Feminine (Camille A. Brown) (c) Nan Melville

 

Le troisième ballet se nomme Episodes. Des quatre oeuvres présentées, elle est celle qui m'a le moins marquée, sans doute aussi parce que la musique de Robert Ruggieri n'était pas ma tasse de thé et parce que la structure du ballet était un peu répétitive.

 

Enfin, pour terminer ce spectacle, était représenté le ballet Love Stories, ballet qui dégage une extraordinaire énergie.Danse moderne, hip hop, street dance, il fallait pas moins de trois chorégraphes pour illustrer des genres si différents (Judith Jamison, Robert Battle et Rennie Harris) mais ce sont bien les mêmes danseurs qui passent d'un style à l'autre avec une incroyable aisance.

 

Merci à tous pour ses incroyables moments d'émotion partagée.

 

camille-pissarro-the-louvre-and-the-seine-from-the-pont Challenge Paris je t'aime

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 21:49

logo3.jpgJe me suis inscrite aujourd'hui au challenge le règne de Louis XIV sur le blog d' Eliza. Pour celles et ceux qui me rendent visite le  blog de Nunzi, vous devez savoir que les félins ne sont pas épargnés. J'ajoute que j'ai été à deux doigts de rédiger un billet d'humeur (et je n'exclus pas de le faire) sur un tout autre sujet. Mais s'énerver n'est bon ni pour ma santé, ni pour celle de mes chats, alors place à la musique.

 

Après vous avoir présenté Alceste, la seconde tragédie-ballet écrite par le duo Jean-Baptiste Lully/Philippe Quinault, je vous présente leur oeuvre ultime : Armide, représentée pour la première fois le 15 février 1686. Bien que Louis XIV ait choisi le sujet de l'oeuvre, inspiré de la Jérusalem délivré du Tasse, il n'assista à aucune représentation d'Armide.

 

 

 

 

Cette oeuvre comporte, comme Alceste, un prologue et cinq actes. Le prologue voit la Gloire et la Sagesse se disputer les mérites de Louis XIV (la Gloire était déjà présente dans le prologue d'Alceste). Mais avant ce prologue, retentit la sublime ouverture d'Armide :

 

 

 

L'acte I voit le triomphe de la magicienne. Elle a capturé les chevaliers chrétiens. Au beau milieu de la fête, Aronte, qui devait ramener les chevaliers capturés, est gravement blessé. Il vient avertir la magicienne : "un guerrier indomptable les [captifs] a délivrés tous". Il s'agit de Renaud. Armide jure de "poursuivre jusqu'au trépas l'ennemi". La musique de cette acte est particulièrement martiale.


L'acte II nous montre le camp de Godefroy, donc Renaud vient d'être banni. Il est mis en garde contre les charmes de la magicienne Armide, il n'en a cure. Il s'endort dans un paysage paisible mais très vite, des visions cauchemardesques viennent le hanter. Armide apparaît, veut le tuer, n'y parvient pas : elle est tombée amoureuse de Renaud. Cette air est absolument sublime, surtout par la lucidité terrible d'Armide :

"Puisqu'il n'a pu trouver mes traits assez charmants

Qu'il m'aime au moins par mes enchantements.

Ou s'il se peut, je le haïsse".

Je sais que la version de Gluck est souvent préférée. Pour ma part, j'adore Lully, et il serait difficile de me faire changer d'avis à son sujet. Puis, quel besoin de choisir ? La musique se moque des classements. 

 

A l'acte III, Armide se désole : Renaud ne l'aime pas sans enchantements. Ses suivantes la supplient de se résoudre à le haïr. Armide convoque alors la Haine, mais la chasse, ne pouvant céder à ce sentiment : elle aime trop Renaud. La Haine l'avertit :

'tu me rappelleras, peut-être dès ce jour, mais ton attente sera vaine".

La scène de la Haine est un véritable morceau de bravoure, à ne pas rater.

 

Acte IV : les amis de Renaud le recherchent. Ils sont victimes d'enchantements, mais parviennent à s'en libérer. Cet acte est celui que j'écoute le moins,sans doute parce que sa leçon de morale est qu'il faut préférer la gloire à l'amour. En gros, faites la guerre, pas l'amour.

 

Acte V : si je schématisais, je vous dirais que les deux amis de Renaud le retrouvent et le délivrent. Il quitte Armide. La magicienne reste seule, sans pouvoir haïr Renaud, toute à sa douleur. Sauf que cet acte contient une des pages les plus magnifiques de la musique : la Passacaille. Je vous laisse l'écouter, par Christophe Rousset et les Talents lyriques.

 

 

 

Après cet oeuvre, Philippe Quinault cessera d'écrire. Lully mourra un an plus tard.

 

Note : les citations littéraires sont faites de mémoire.

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5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 11:32

J'avais dit : "plus de tag". J'avais même chargé Nunzi d'y répondre à ma place.

 

Pourtant, je ne peux résister à cette chanson, entendue hier matin alors que je partais pour Gisors et je l'inscris pour le tag d'Euterpe, qui consiste à présenter sa chanson de l'été

 

Place à la musique :

 

 

 

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 09:37

Pour la fête de la musique, j'ai choisi de vous parler du dernier album studio solo de Michel Berger : ça ne tient pas debout.

michel-berger-ca-ne-tient-pas-debout

 

Il est sorti en 1990 et comporte neuf chansons.

 

La plus connue, ma préférée d'entre toutes les chansons de Michel Berger, est la cinquième chanson de l'album, Le paradis blanc.

 

 

 

 

J'aime aussi beaucoup cette superbe reprise de Marc Lavoine, l'un des rares à habiter cette chanson. C'est toute la diférence entre un artiste et un candidat de télé-réalité :

 

 

Autre superbe chanson, méconnue celle-ci : A quoi il sert.

 

 

 

 

 

Je terminerai par la chanson qui donne son nom à l'album : ça ne tient pas debout.

 

 

 

La difficulté n'est pas de présenter un album, mais de parler des émotions ressenties. Je préfère ne pas disserter à ce sujet et vous laisser écouter cette musique.

 

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 21:17

Les jours se suivent et se ressemblent sur mon blog. Je suis débordée par les obligations professionnelles et les problèmes divers. Aussi, histoire au moins que mon blog permette un partage, je voudrai vous parler ce soir du tout premier album que j'ai aimé : Babacar, interprêté par France Gall, paroles et musique de Michel Berger, sorti en 1987.

 

L'album comporte neuf chansons, je les écoutais en boucle sur mon baladeur (cadeau de mon cousin Bertrand) et j'usais les nerfs d'à peu près tout le monde avec cette cassette. A l'époque, mes chats se nommaient Rose, Nanoute (oui, déjà à l'époque), Scat Cat et Véra.

 

Que dire ? Les chansons sont presque toutes connues. Babacar, chanson éponyme et troisième de l'album, cotoie Ella, elle l'a, hommage à Ella Fitzgérald et la superbe Chanson d'Azima, sans oublier Evidemment hommage à Daniel Balavoine.

 

Je préfère vous présenter un morceau méconnu, le dernier de l'album, C'est bon que tu sois là.

 

 

 

 

 

challenge-Des-notes-et-des-mots-2

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 18:27

Cette semaine, je diversifie mes billet : peu de lecture, beaucoup de photos, et un peu de musique.

 

Je voulais donc parler d'un artiste qui me tient particulièrement à coeur : Michel Berger et de son album Différences. Paru en 1985, cet album contient dix chansons. La plus connue, celle qui fut pour moi une révélation, est Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux :

 

 

 

J'aime aussi beaucoup Si tu plonges, première chanson de l'album :

 

 

 

 

challenge-Des-notes-et-des-mots-2

CHallenge des notes et des mots chez Anne

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 16:10

Challenge-irlandaisDans le challenge littérature irlandaise, il est une partie musique, partie avec laquelle je ne suis pas très à l'aise en dépit d'années de piano derrière moi, mais alors vraiment derrière moi et d'un UV d'histoire de la musique, obtenu avec mention très bien.

 

Bizarrement, les chansons irlandaises dont je me souviens le plus sont liées au cinéma. Par exemple, With or without you de U2, qui fait partie de la bande-originale de Ne le dis à personne de Guillaume Canet :

 

 

Un autre exemple : Rocky road to Dublin. J'ai entendu pour la première fois cette chanson dans le Sherlock Holmes de Guy Ritchie. Certes, la version que je vous propose n'est pas celle du film, mais elle me plaît beaucoup.
Je n'ai garde d'oublier un groupe irlandais que j'aime beaucoup : The Corrs. Composé de trois soeurs Sharon, Andrea et Caroline et d'un frère Jim, le groupe a sorti sont premier album en 1995. Depuis, Sharon et Andrea ont sorti des albums solo. Voici un des morceaux qui les a fait connaître, Runaway. 

ou encore Forgiven, not forgotten, l'un de mes préférés:

J'espère que cette balade irlandaise en musique vous aura plu.
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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 17:55
Je n'ai pas peur des contrastes. Après Placebo, je vous parlerai donc d'Alceste ou le triomphe d'Alcide de Lully, ma tragédie lyrique préférée.
Ecrire en 1674, elle est la deuxième tragédie lyrique écrite par Lully et Philippe Quinault, son librettiste attitré, après Pomone. Elle comporte un prologue et cinq actes.
Lors du prologue, la Gloire apparaît aux Nymphes éplorées par l'absence du héros Louis (XIV) : "lorsque tu vois la Gloire, ton héros n'est pas loin". Voici le rondeau qui annonce son entrée en scène.
L'histoire ? Je vous la raconte. Alceste et Admète sont sur le point de se marier. Alcide (plus connu sous le nom d'Hercule) est amoureux d'Alceste, et cache son tourment, sauf à Lychas, son plus proche confident. Celui-ci badine de son côté avec la jeune et jolie Céphise, suivante d'Alceste, qui filait jusque là le parfait amour avec Straton, serviteur de Lycomède. Alors que les festivités du mariage battent leur plein, Lycomède, amoureux lui aussi d'Alceste et Straton enlèvent  la fiancée et sa suivante, aidé par Eole. Alcide offre son aide au fiancé éploré.
Acte II : Sur son île, Lycomède tente de séduire la fidèle Alceste, en vain. Admète et Alcide viennent délivrer les deux jeunes filles, avec une musique fort martiale.
 
Elles sont délivrées ! Si Céphise se jette dans les bras de Lychas, en revanche Alceste trouve Admète mourant. Appraît alors Apollon. Le Dieu promet que le jeune homme aura la vie sauve si quelqu'un accepte de mourir à sa place.
Acte III : la cour, qui aurait dû résonner des festivités du mariage, est déjà en deuil. Personne ne veut se sacrifier pour son roi, tous ont de bons prétextes, d'excellentes excuses, à commencer par son propre père.
Soudain, un miracle a lieu : Admète est guéri. Il demande à voir celui qui s'est sacrifié pour son roi. Le rideau s'ouvre : apparaît le corps d'Alceste. Admète défaille, la pompe funèbre, un des airs les plus émouvants de cet oeuvre, débute :
Acte IV : Alcide réanime Admète, qui ne pense plus qu'à mettre fin à ses jours. Lui, le demi-dieu, révèle son amour pour Alceste et  lui fait une promesse : il ira chercher Alceste jusqu'au fond des Enfers, à condition qu'il devienne le mari d'Alceste en lui et place d'Admète (rappelons qu'avec tous ses événements, le mariage n'a toujours pas été célébré). Et il y va, il affront Cerbère (l'air dont les critiques se sont le plus gaussés à l'époque). J'adore les deux airs suivants.

 

Acte V : Alcide est vainqueur du trépas, l'Enfer ne lui résiste pas. Admète organise les festivités. Il se réjouit et souffre le plus silencieusement qu'il peut. Pendant ce temps, Céphise règle ses comptes avec ses deux amoureux transis :

 

Je n'ai pas de choix à faire

Parlons d'aimer et de plaire

Aimez-vous toujours en paix

L'hymen détruit la tendresse

Il rend l'amour sans attrait

Voulez-vous aimer sans cesse

Alors n'épousez jamais (je trouve ces vers très modernes).

 

Alceste apparaît, et, comme Admète, fait tous les efforts qu'elle peut pour ne pas laisser transparaître sa douleur (je rappelle tout de même à Mossieur Alcide, demi-dieu de son état, que c'est pour Admète qu'elle a donné sa vie, par pour lui). Les adieux entre Alceste et Admète sont si déchirants qu'Alcide, après avoir triompé de la mort, triomphe de lui-même : il vainc son amour et rend Alceste à Admète. 

 

Que dire ? Si ce n'est que depuis que j'ai entendu cette oeuvre sur France musique, avec Jean-Claude Malgoire en chef d'orchestre, Colette Alliot-Lugaz, Howard Crook, Jean-Philippe Lafont, Sophie Marin-Degor au chant, il y a près de 18 ans, je suis sous le charme de cette oeuvre. Dès que le triple CD, indisponible à ce jour est sorti, je me le suis procuré (en 1994)n et depuis,  je le réécoute très régulièrement (c'est à dire au moins une fois par vacances scolaires, petites ou grandes). Les extraits que j'ai insérés proviennent pour leur part tous de L'orchestre du roi Soleil, interprété par Le concert des Nations et Jordi Savall.

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 17:22

challenge-Des-notes-et-des-mots-2

 

Pour le challenge organisé par Anne, il nous faut écouter de la musique. Très douloureux pour moi qui écoute des disques quotidiennement (y compris en rédigeant ce billet). Je profite donc de ce challenge pour vous présenter le dernier album de mon groupe préféré, Placebo : Battle for the sun.

 

Je dédie cet article à mes amies Elise et Tiphaine, aussi fans que moi de ce groupe (si ce n'est plus).

 

Battle_for_the_sun.jpg

 

Cet album, sorti en 2009 (j'ai envie de dire : déjà) comporte treize titres et a été écrit, composé par Brian Molko (chanteur et guitariste) et Stefan Oldsdahl (basse) les membres "historiques" de la formation (le groupe s'est formé en 1994). En effet, ils se sont séparés de leur précédent batteur Steve Hewitt (qui aura tout de même fait partie du groupe plus de dix ans) qui a été remplacé par Steve Forrest au look très particulier (ce qui n'ôte strictement rien à ses talents de batteur. Disons que les tatouages et moi, nous sommes plutôt fâchés).

 

Je vous propose donc d'écouter quelques morceaux de cet album. Tout d'abord, Devil in the details :

 

 

 

Puis, Battle for the sun, le titre qui donne son nom à l'album :

 

 

Bien sûr, en vrai fan, je les ai déjà vus en concert, en 2003 d'abord à Bercy, puis en 2009, au Zénith.
Sinon, j'ai essayé d'insérer une vidéo d'Every you, every me, mon titre préféré.
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